author image in post end author image in post
Widgets

Comment arriver à la Une sur Hellocoton ?


Je ne cours pas après la notoriété, les personnes qui me lisent actuellement m’honorent profondément chaque fois qu’elles reviennent et me font part de leur passage. Ce n’est pas ça. C’est plutôt que la Une d’Hellocoton, c’est cool et ça fait drôlement envie. À chaque fois que j’ouvre la page (et je le fais bien une fois par jour !), je suis ébahie. De belles photos, en grand. Des titres accrocheurs. 156 personnes qui ont aimé lire l’article. C’est fabuleux !

Je rêve que l’un de mes articles soit à la une. Parfois j’espère. Quand je suis contente de mon sujet, quand j’ai pris beaucoup de plaisir à écrire mon article, j’imagine voir mon titre à la une… Mais voilà : ce n’est jamais arrivé. Je ne vous cache pas que j’ai parfois éprouvé de la déception et que j’ai envié certains d’entre vous. Et je me suis mise à réfléchir : pourquoi pas moi ? Pourquoi toujours les autres ? Pourquoi est-ce que je ne trouve pas ça juste ?

J’aurais pu me dire que ce n’est qu’une question de hasard. Il y en a qui ont de la chance, et d’autres non. Sauf que voilà, la Une ne se choisit pas au hasard. Les articles sont sélectionnés ! J’aurais pu me dire que mon blog est naze et que je ferais mieux d’arrêter tout de suite… J’aurais pu me dire qu’Hellocoton a ses chouchous et puis c’est tout. Non, je n’ai pas fait ça.

Euh… En fait, si, je me suis dit tout ça, jusqu’à me rendre compte qu’il y avait bien mieux à faire ! Eh oui, je pouvais également :

Améliorer mon blog !

Le rendre plus attrayant, plus moderne, plus beau, avec de belles images et tout !

Franchement, est-ce que je serais satisfaite de moi si je voyais mon article à la Une avec une photo choisie à la va-vite sur le net ? Oui, parce que je fais ça en vrai : je choisis très souvent ma photo en mode : « Bon, c’est quoi la première photo pas dénudée de google image ?… » Non, je ne serai pas satisfaite. Je trouverai ça nul. Et je n’aurai pas envie de cliquer pour découvrir l’article sélectionné. Si je voulais un jour avoir une chance d’être à la Une d’Hellocoton, il fallait que je bosse un petit peu.

Je me suis mise à regarder différemment les blogs dont je suis abonnée. Pourquoi est-ce que je les aime ? Pourquoi suis-je attachée à eux ? Sont-ils à la Une ? Oui, tous, et je suis contente de les trouver parmi les primés à chaque fois. J’ai sélectionné chez eux ce que j’aimais bien, ce que je ne me voyais pas faire. J’ai réfléchi à l’investissement que j’étais prête à donner dans ce blog et j’en suis venue à la conclusion suivante. Ce qu’il manque avant tout à mon blog c’est une identité.

La recherche de l’identité

Qu’est-ce que je veux apporter au web par mon écriture ? Je suis une jeune maman. Oh… ! C’est-y pas original ça ?? Bon, OK, ça va pas trop.  Hum… Ça y est ! J’ai : je suis une jeune maman très investie dans l’éducation bienveillante et réfléchie de ma fille. Je pense faire plus tard l’école à la maison, je lis les livres de Maria Montessori, je veux faire les choses intelligemment sans pour autant devenir obsessionnelle. Ma fille mange des légumes frais tous les jours, et certains jours j’me dis que des frittes avec de la mayo, ça fait bien office d’un plat complet…

Elle, c'est moi !
Mais ce n’est pas tout : chez nous, c’est la débrouille tous les jours ! On fait rentrer toute la famille et les affaires de camping dans une minuscule petite voiture dont le coffre est entièrement dédié à notre loup domestique. On fabrique des petites choses, on fait sécher notre linge sur les rochers, la petite loutre a appris à empiler les objets avec des boites de concentré de tomates… etc., etc. Ça, c’est carrément moi, nous, la famille !

Et puis nous avons des projets. Je vais éditer mon livre avant la fin de l’année. Je vais partir cet été pour un périple à travers la France à vélo et en roulotte avec la petite loutre, pour aller dans un lieu où il faudra descendre au village pour avoir de l’eau. Et surtout : l’Explorateur, la loutre, le loup et moi nous partons dans un an et demi pour une vie nomade, à vélo, en tente, au fil des saisons, de pays en pays, au rythme des envies de chacun.

Mais pourquoi je ne vous parle pas de tout ça ? C’est chouette, c’est mon identité ! Voilà ce qu’il faut que je fasse : me montrer sans me cacher, et ne pas dévoiler ce qui doit rester personnel. Il faut rester sincère et vraie, et pudique. J’ai quelque chose à apporter au monde des blogs si je reste moi-même et si j’arrive à vous en faire part.

Développement graphique du blog

En plus d’un contenu intéressant, il faut que le blog soit attrayant. J’ai changé le thème. Celui-ci est offert par Sora. (Vous verrez un lien tout en bas de la page, dans la bande noire) Il est moderne, avec des effets du plus bel effet, je suis ravie ! J’ai changé la bannière d’accueil. Je l’ai faite plus simple, plus au gout du jour, sans essayer (je crois) de copier quiconque. J’ai retiré un élément qui était pourtant très beau mais dont je savais que je ne saurais pas le mettre à profit. Je ne suis pas prête à faire de ce blog quelque chose de professionnel, il restera dans l’intimiste, c’est certain, et je préfère.

Et puis les photos. Ah les photos ! Un article sans image, c’est pas un article. Sinon, nos ordinateurs n’auraient pas besoin d’écran couleur, n’est-ce pas ? Fini les images choisies au dernier moment sur le net. Maintenant, ce seront des photos faites avec soin, choisies avec soin, afin de faire quelque chose de beau !

Et tout ça pour quoi ?

Pour la Une d’Hellocoton, rien n’est garanti, c’est sûr. Mais je vais gagner beaucoup avec cette restructuration. Je vais être contente de mon travail. Mes lecteurs vont me lire avec plus de plaisir. Je vais avoir un super blog, un blog dont je suis fière ! N’est-ce pas l’important ?

15 commentaires:

Je vous remercie vivement de prendre le temps de m'écrire un commentaire. Vous pouvez être assuré de recevoir une réponse très rapidement.
A bientôt !
Céline.

Au secours, ma fille a le désir d'apprendre !


Comment commencer cet appel au secours ?

Je me doutais bien, en devenant maman, que la petite vie qui s'incrustait entre l'Explorateur et moi allait nous mettre face à face avec quelques dilemmes. J'avais entendu parlé du problème de se retrouver en amoureux, du problème des siestes, du coucher, du problème de la nourriture, de la propreté… J'étais finalement assez bien préparée ! Sauf que voilà, personne ne m'a jamais prévenue, personne ne m'en avait même parlé avant et pour une fois aucun blog ou article doctissimo ne traite de cette incompatibilité entre ma fille et moi qui ne fait que de devenir plus intense de jours en jours…

Voilà, ma fille a le désir d'apprendre.

Ce ne doit pas être le seul enfant dans ce cas, si ? Alors je ne comprends pas comment ça se fait que personne ne parle de ce problème !

0 commentaires:

Je vous remercie vivement de prendre le temps de m'écrire un commentaire. Vous pouvez être assuré de recevoir une réponse très rapidement.
A bientôt !
Céline.

Partir en camping avec bébé (17 mois)

L'Explorateur et moi-même avons toujours voulu un bébé 0 MBC. Ca veut dire aucun Machin Bidule Chouette. Les choses ont très bien commencé. Déjà, quand la loutre est née, on avait pas d'argent alors pour les MBC, même si on avait voulu, c'était fichu. La première fois qu'on a installé la louloute dans son lit de bébé, je devais marcher en crabe pour l'atteindre car son lit était coincé contre un mur de cartons. J'avais décoré le tout avec une serviette de plage et des nounours accrochés avec des pinces à linge. Ca valait pas les beaux appart' des parisiennes que je vois sur Hellocoton, mais j'étais plutôt contente du résultat. Depuis, on s'est rattrapé puisque la petite loutre dort dans une super tente multicolore avec un tunnel qui rejoint sa table à langer (le luxe !). Mais ça, c'est une autre histoire.

Ce week-end, on part en camping. On habite pas le sud, il va pleuvoir parce que c'est un week-end, mais on part quand même. Parce que je ne rêve que de ça depuis que j'ai compris que l'Explorateur ne travaille pas ni jeudi, ni vendredi, ni samedi, ni dimanche. En vrai, je n'ai compris ça que cette semaine car la notion de jour m'est de plus en plus étrangère, alors je me suis dépêchée de me rendre compte que tous les trains sont complets mais que dans les Vosges y a de chouettes campings avec piscine couverte.

Oh que c'est beau le camping !

0 commentaires:

Je vous remercie vivement de prendre le temps de m'écrire un commentaire. Vous pouvez être assuré de recevoir une réponse très rapidement.
A bientôt !
Céline.

Ne pas s'énerver contre bébé…
La méthode miracle !

Quelle douleur la découverte de la culpabilité ! Oh je ne suis pas une bonne maman. Je ne l'ai pas protégé de ça, je n'ai pas su lui expliquer ci, je n'ai pas été assez présente lorsqu'il a fait ça pour la première fois… Et puis, de façon bien plus douloureuse : mais pourquoi ai-je crié contre lui, mais pourquoi n'ai-je pas su faire preuve de sang-froid ???

Pour la colère, s'il fallait classer les mamans de façon croissante en fonction de leur capacité à se maitriser, je serai probablement dans les dernières de la classe. Et parce que connaître la culpabilité parce qu'on a crié contre un enfant qui n'arrive pas à s'exprimer autrement qu'en pleurant, ou contre une petite qui ne comprend pas pourquoi elle ne peut pas changer de lit à 4h du matin (celui de maman et papa est bien plus douillet !), me suffit largement. Et parce que je ne voulais surtout pas avoir à assumer le stade supérieur, celui où je l'ai frappée, j'ai mis au point la méthode PETIT BONHOMME.

Contre la colère, l'emportement sans intelligence et les excès de folie, le meilleur conseil que j'avais entendu jusque là était celui de quitter la pièce. Quitter la pièce pour prendre l'air. Sauf que voilà, quand je quitte la pièce j'ai l'impression de fuir. Sauf que voilà, quand je quitte la pièce parce que justement je n'arrive pas à assumer la demande de ma fille, c'est loin de calmer celle-ci. Quand je quitte la pièce, elle cogne à la porte en m'appelant entre deux sanglots. Quand je quitte la pièce, je sais que je vais devoir y retourner et que je vais encore devoir m'affronter, moi et ma noirceur.

Quitter la pièce ne m'a jusque là pas beaucoup aidé. Ca m'a fait respirer, certes, mais il faut recommencer à chaque fois. De plus, cela ne correspond pas à mon aspiration. Je ne veux pas quitter la pièce parce que je suis en train de m'énerver bêtement et que ça risque de tourner au vinaigre, NON, je veux JUSTE ne pas m'énerver tout court.

La meilleure méthode que je connaisse pour ne pas m'énerver, c'est l'humour.

Et comment retrouver le sens de l'humour devant une boule de cris ?

"Non d'un petit bonhomme ! Mais qu'est-ce qui t'arrive ??"

Une vie saine en une seule phrase : Nom d'un petit bonhomme !

Non d'un petit bonhomme ! Vous en connaissez, vous, des expressions plus marrantes à prononcer ? Plus ridicule à dire au milieu de la nuit ou sur la ligne pointillée d'une route à 90 parce que la louloute a décidé qu'elle ne voulait pas traverser ? Non d'un petit bonhomme ! Ca désamorce la bombe avec une efficacité irréprochable. Ya pas une colère qui lui a échappé. Bien insister sur le homme, avec un petit air rond, finir la phrase avec la bouche pincée : Non d'un petit bonhomme. Rien qu'en la relisant ici, je souris.

C'est ma phrase miracle. La phrase qui, depuis plusieurs jours, fait de moi la meilleure maman du monde !

0 commentaires:

Je vous remercie vivement de prendre le temps de m'écrire un commentaire. Vous pouvez être assuré de recevoir une réponse très rapidement.
A bientôt !
Céline.

Prendre la pilule ?


Le gynécologue crayonne mon nom sur un cahier à couverture de cuir. Il utilise un crayon de papier en prévision, parce qu'un jour je vais forcément me marier. Je respire lentement. J'ai peur sans savoir pourquoi. Ma mère est restée dans la salle d'attente par discrétion.
"Pourquoi venez-vous me voir mademoiselle ?
- Je voudrais prendre la pilule…"

Ma voix se coupe brutalement comme si j'allais pleurer. Je ne voulais pas être là, je ne voulais lui demander ça, mais je ne sais pas quoi lui dire d'autre. Lorsque nous nous sommes serrés la main pour nous dire bonjour, la mienne m'a parut beaucoup trop petite et frêle à côté de celle du médecin. La pilule, je ne la veux pas. Mais je ne veux pas de grossesse. Et puis les garçons ne sont pas plus à l'aise que moi avec le préservatif. Je trouve ça irresponsable de leur part parce qu'entre eux et moi, il me parait évident que l'un des partis est quand même mieux équipé pour s'entrainer. Alors je me retrouve devant un médecin pour lui demander quelque chose que je ne veux pas. Je trouve ça injuste.

J'ai le droit d'être examinée sous toutes les coutures, seins, vagin, utérus, échographie… J'ai également droit à une prise de sang. Puis j'ai droit à une ordonnance : 6 mois de pastilles de trois couleurs, à prendre tous les jours sans erreur. Il faudrait que je revienne avant la fin de l'année. Je ne remercie pas le médecin. Ma mère sourit pour me remonter le moral.
"Il est gentil, non ?
- Oui, il est très respectueux, maman, ça va."

Je n'ai pas lu la notice en entier, les effets indésirables n'en finissaient pas et j'étais fatiguée. Je l'ai avalée pour la première fois sans difficulté. Il faut dire qu'elle était petite.


Au fil des années, je n'en pouvais plus de revenir voir ce médecin, d'écarter les jambes sur ses trombones froids, de ne pas voir à quoi ressemblait ce truc métallique qu'il entrait en moi. Je n'avais plus d'ordonnance, mais la pharmacienne pouvait quand même me donner une plaquette, en attendant. Je visitais des pharmacies de plus en plus éloignées de mon domicile. Et puis j'ai appris qu'un médecin généraliste pouvait m'en donner aussi. C'était plus rapide, moins intimidant, moins intrusif.

J'ai eu des migraines, j'ai changé de marque, mes règles ont disparu, j'ai cru que la vie me quittait. J'ai lu la notice en entier, j'ai appris précisément quelles pastilles étaient placebo, lesquelles je pouvais "oublier" sans trop me faire de soucis. L'avaler devenait de plus en plus délicat. Je faisais semblant d'oublier sur de plus longues durées jusqu'à ce que viennent les jours où l'avaler me faisait vomir.

Un jour, on m'a fait attendre trois heures dans le planning familial de l'université. J'ai lu les brochures. "Et ce qu'il y a de bien avec la pilule, c'est que tes sauts d'humeur  disparaissent !" Voilà comment on fait la pub des pastilles de couleur. Ca calme l'hystérie bien connue des jeunes filles. C'est génial ! J'aurais dû quitter cet endroit infâme mais je suis restée pour me faire malmener de médecin en médecin pendant encore deux heures, pour être interrogée sur ma passionnante vie sexuelle… "Tout ce que vous direz ici ne sortira pas de ce bureau." Tout ce que je vous ai dit n'aurait jamais dû sortir de ma bouche parce que je vous déteste déjà.

J'ai arrêté de visiter les pharmacies. Je n'ai pas terminé ma dernière plaquette. Mon corps a mis des mois avant de se rappeler comment vivre sans accrochage.

Mais voilà, j'étais sans contraception. Mais j'avais plus de vingt ans, d'un bon niveau scolaire, j'avais quand même les moyens de me renseigner. J'avais fait mon choix sur la contraception. Un choix qui me convenait. J'ai attendu plusieurs mois avant d'en faire la demande car je craignais qu'on me le refuse.

Et puis j'ai accouché. Je n'étais plus une jeune fille à qui on voulait ravaler les humeurs avec des bonbons, j'étais devenue une femme. On ne pouvait plus rien me refuser. J'ai téléphoné chez un gynécologue :
"Bonjour, j'aimerais avoir un rendez-vous.
- Bonjour madame, c'est pourquoi ?
- Je voudrais me faire poser un stérilet.
- Il faut savoir que le stérilet doit se poser en fin de règle.
- Oui je sais, mais je n'ai pas de règles donc le problème ne se pose pas.
- Vous n'avez plus vos règles madame ?
- Non, j'allaite, voyez-vous, c'est plutôt normal.
- Ah… Je ne sais pas si ça va être possible dans ce cas.
- Si, c'est tout à fait possible, j'ai la eu confirmation d'un gynécologue.
- Vous êtes déjà allée chez le Docteur… ?
- Non, je viens d'arriver dans la région.
- Alors il faut voir le docteur qui vous a prescrit le stérilet.
- Ce n'est pas possible, son cabinet est à 500 km de mon domicile.
- Mais le Docteur… ne voudra pas le poser s'il ne vous connait pas.
- Mais puisque je vous ai dit que je veux un rendez-vous, elle va bien me rencontrer avant de le poser !
- Madame, ça ne va pas aller…
- Pouvez-vous m'indiquer une date ?
- Le 11, à 10h30, c'est bon pour vous ?
- Oui, très bien, je note.
- Par contre, il faudra prendre un autre rendez-vous pour la pose, à la fin de vos règles.
- Je doute qu'elles reviennent de si tôt ! Ah ah ! Nous verrons !"

Le gynécologue que j'ai rencontré a tout de suite compris qui j'étais. C'était une femme âgée mais elle ne s'est pas laissée démonter par mon attitude déjà revancharde. Elle ne m'a pas demandé de planifier des rendez-vous pour les années à venir. Elle avait compris qui si je voulais un stérilet, c'était pour être tranquille pour de longues années. Elle a été douce, prévenante. Moi j'étais venue à l'arrach' : en bus, ma fille sous le bras, sans Spasfon, sans serviette. Mais tout a bien été.

Enfin, la contraception n'a plus été une souffrance pour moi.

0 commentaires:

Je vous remercie vivement de prendre le temps de m'écrire un commentaire. Vous pouvez être assuré de recevoir une réponse très rapidement.
A bientôt !
Céline.

Ça suffit ce bazar !


A la maison, nous abordons trois apprentissages :
  • Pour notre petite loutre, celui de raisonner avec confiance;
  • Pour les grands, celui de vivre dignement malgré nos émotions et nos (mauvaises) habitudes;
  • Pour le grand loup, celui de cohabiter avec des humains.

Depuis quelques semaines, nous avions quelques soucis avec le loup (Qui, soit dit en passant, n'est pas du tout un loup puisque c'est un chien de berger. Mais je n'aime pas démentir les enfants qui rêvent en le voyant : "Oh maman, regarde ! C'est un loup !") : ce jeune monsieur profitait systématiquement de notre absence pour faire le cirque dans la bibliothèque et pour défoncer la porte de ma salle d'étude. Il fallait trouver une solution, lui faire comprendre que ça ne se faisait pas, et comprendre ce qui le poussait à réagir de façon aussi dévastatrice. Je n'ai pas trouvé de réponse convaincante en cherchant sur le net, alors voici comment j'ai procédé pour préserver ce qu'il me restait de livres, et de porte.

Votre chien gratte à la porte ?
Voici une solution envisageable.

0 commentaires:

Je vous remercie vivement de prendre le temps de m'écrire un commentaire. Vous pouvez être assuré de recevoir une réponse très rapidement.
A bientôt !
Céline.

Fourni par Blogger.
LeftContent Ends
Footer Starts Footer Ends
'It is your responsibility to notify your visitors about cookies used on your blog. See http://www.blogger.com/go/cookiechoices for more details.'